encore une fic by tohru ! lol
Disclamer : Kyo et Torhu appartiennent à Natsuki Takaya, et la chanson
« Je te vends mon âme » appartient au groupe Kyo et non à moi ! ^_^
Sujet : dernier souffle de vie d’un homme au cœur mort d’amour…
Dans son rêve…
Je vois ton nom écrit en grand partout
Sur les murs sais tu ce que j’endure ?
Le sang de tes mains sur mon corps qui brûle.
Je brûle…
Allongé sur le parquet froid de sa prison, il revoie défiler sous ses yeux
Les plus beaux moments de sa vie. Ces moments sont marqués par un nom.
Un seul nom. Qui le hante, le fait souffrir, et qui en même temps, rempli son corps d’un désir sans nom : Torhu.
Et je rêve d’un courant d’air,
d’un espace clos avec vue sur la mer,
d’un silence radio, d’un océan solaire
Qui nous bordent ensembles et qui nous enferment.
Les souvenirs sont beaux, mais ses rêves le sont encore plus. Dans son rêve, il peut la prendre dans ses bras, l’a serrée contre lui tout en gardant son corps humain. Dans son rêve, il y’a la mer et le bruit des vagues, du soleil et Torhu. Dans son rêve ils s’aiment et sont ensembles. Tous simplement.
Je t’ai perdue, depuis je ne m’aime plus,
depuis j’en suis sûr,
je peux refermer la blessure :
Je te vends mon âme !
fais de moi ce que tu veux,
En retour de moi la chance d’être mieux !
Je te vends mon âme !
prend ma vie et mon paysage
En échange je veux voler ton visage.
Mais c’est un rêve. C’est très beau, mais c’est un simple rêve. Ne plus être à ses côtés le tue.
Les tortures qu’il subit, ils ne les sent pas. Les coups qu’on lui afflige lui font des marques sur la peau et pourtant si son âme est morte ce n’est pas à cause de cela.
Je te cherche ma sœur d’âme,
mon identité, ma vénus fatale, à l’unanimité
Ce qu’il y’a de mal je l’ai mis de côté, je serais sage.
Et le fait de ne plus être à ses côtés le rend fou. Elle est loin, en sécurité et heureuse, il l’espère.
Il faut qu’elle fasse sa vie, qu’elle l’oublie, qu’elle soit auprès d’un homme qui saura la rendre vraiment heureuse.
Et pourtant, la savoir dans les bras d’un autre lui donne la nausée. Imaginer sa Torhu avec les enfants d’un autre homme le dégoûte. Et pourtant pour elle c’est le meilleur choix.
Et je rêve de former un arc en chair
et en osmose avec la terre, plus de larmes sur terre
seulement du vrai et du cher,
Seulement du fragile et du nécessaire.
Dans son rêve, personne ne pleure, personne n’est triste. Dans son rêve le monde est beau, rempli de couleur et de lumière. Plus de mensonges, seulement la vérité. Plus de superflu, seulement du nécessaire. De la fragilité et beaucoup de douceur.
Son rêve c’est son monde imaginaire qu’il s’invente affin de ne pas sombrer dans le désespoir.
Je t’ai perdue ; depuis je ne m’aime plus,
Depuis j’en suis sûr, je peux refermer la blessure.
Je te vends mon âme,
Fais de moi ce que tu veux en retour de moi la chance d’être mieux !
Je te vends mon âme !
Prend ma vie et mon paysage en échange je veux voler ton visage.
Doucement, ses paupières se ferment, mais il voit une lumière, et au bout, Torhu.
Elle est là, resplendissante. Il court pour ne plus jamais la perdre. Il l’aime tellement !
Sans elle, à quoi ça sert de s’inventer un monde affin de ne pas sombrer ?
Les paupières sont clauses et le cœur fatigué se meurt d’amour.
Ce cœur qui n’avait jamais aimé avant, n’a pas put réussit à battre loin d’elle.
Si lorsqu’il était à ses côtés son cœur s’emballait, loin d’elle, et sachant qu’il ne la verrait plus jamais, le cœur se meurt.
C’est fini. A dix-sept ans, un homme se meurt. Il n’aura jamais connu la vie, mais il se meurt tranquille car il a connu la plus belle chose qui existe sur terre : l’amour…
